'Splendida' clematis References
Website/Catalog (1926) Page(s) 55.
Hybrida splendida, couleur vin pourpre.
Magazine (17 Nov 1900) Page(s) 537.
La Maladie noire des Clématites à grandes fleurs....Les variétés qui été les plus atteintes au Jardin botanique de la Ville sont :
3° Dans le groupe des Clematis hybrida Hort. ou Cl. Jachmanni : François Morel, hybrida fulgens, Jackmanni et Jackmanni superba, Mme Edouard André, Mme Furtado Heine, M. Thomas Moore, Neptune, Etoile violette, hybrida splendida, velutina purpurea.
Book (1898) Page(s) 66.
Variétés Horticoles
1er Groupe.—PATENS
Section III. — Jackmani.
Splendida (Simon-Louis). Fleur moyenne, violet foncé.
Magazine (1877) Page(s) 260, 271.
p. 260: Hybrida splendida. — Rev. hort., 1868, 360.
p. 271: Clematis splendida (Simon-Louis); pourpre.
Book (1872) Page(s) 143.
C. SPLENDIDA (Simon-Louis).—A free-flowering late variety, closely resembling C. rubro-violacea, not only as to habit, but also in respect to foliage and flowers. The latter are composed of four or five sepals, of a roundish oval mucronate form, and of a velvety dark reddish or maroon-purple colour, thus becoming large, bold, and effective. It is of Continental origin, having been raised in 1861 by MM. Simon-Louis, of Metz, and thus was one of the earliest of the dark-coloured hybrids which have found their way into cultivation. It was obtained by crossing C. lanuginosa with C. Viticella grandiflora. A coloured figure has been published in the Revue Horticole (1865, 70). It is sometimes called C. splendens.
Book (1872) Page(s) 143.
C. SPLENDIDA (Simon-Louis).—A free-flowering late variety, closely resembling C. rubro-violacea, not only as to habit, but also in respect to foliage and flowers. The latter are composed of four or five sepals, of a roundish oval mucronate form, and of a velvety dark reddish or maroon-purple colour, thus becoming large, bold, and effective. It is of Continental origin, having been raised in 1861 by MM. Simon-Louis, of Metz, and thus was one of the earliest of the dark-coloured hybrids which have found their way into cultivation. It was obtained by crossing C. lanuginosa with C. Viticella grandiflora. A coloured figure has been published in the Revue Horticole (1865, 70). It is sometimes called C. splendens.
Magazine (Nov 1871) Page(s) 351.
La Clématite patens, introduite depuis plusieurs années du Japon, est une de nos plus belles plantes grimpantes, très-rustique, ne demandant que la terre ordinaire , se plaisant à toutes les expositions et donnant de nombreuses et très-grandes fleurs d'un beau bleu de ciel. Elle a produit un très-grand nombre de variétés entre autres les remarquables clématites Louisa flore pleno, Louise, Marie, Clara, splendida perfecta, etc., sorties des cultures des frères Simon Louis, de Metz.
Magazine (16 Sep 1868) Page(s) 360.
Clematis hybrida splendida. — Très-belle et bonne plante, intermédiaire par le port et le faciès entre les Clematis viticella et patens, à folioles ovales rappelant un peu celles du Clematis lanuginosa. Fleurs nombreuses atteignant jusque 8 centimètres de diamètre, d’un violet foncé à 4, parfois 5 pétales étalés, subcunéiformes. Le C. hybrida splendida est voisin du C .Jackmanii., plante des plus jolies dont la Revue donnera prochainement une figure coloriée.
Magazine (16 Feb 1865) Page(s) 70. Includes photo(s).
CLÉMATITE HYBRIDE SPLENDIDE.
En 1863, nous visitions les jardins de MM. Simon-Louis frères, près de Metz. Une jolie fleur, à l’aspect velouté, remarquable par sa largeur et par son beau pourpre violacé, attira notre attention. C’était une Clématite, que nous cueillîmes pour en faire faire une planche coloriée destinée à la Revue horticole. C’est cette planche que nous offrons aujourd’hui à nos lecteurs, le temps et l’espace nous ayant manqué pour la publier plus tôt.
Cette magnifique plante a été trouvée en 1861 par MM. Simon-Louis frères, dans un semis de la Clematis lanuginosa, fécondée par la Clematis viticella grandiflora. Elle tient de cette dernière par la vigueur, la rusticité et une floraison toujours abondante; mais elle s’en éloigne par la grandeur et la forme de la fleur et des feuilles. Comme la Clematis lanuginosa, elle présente des fleurs très-larges ; mais la tige, les feuilles et les boutons ont entièrement perdu le velu de
la Clématite laineuse. La fleur se compose ordinairement de 4 ou de 5 pétales, comme le montre la planche. Ces pétales sont ovales-arrondis, se terminent par une petite pointe, et sont d’un pourpre violacé foncé. Les étamines sont jaunes. La floraison commence en juin et continue toujours abondante jusqu’aux gelées. La plante paraît complètement stérile, et a ainsi le caractère distinctif des hybrides. Elle est très-rustique et réussit parfaitement en pleine terre.
Le nom de splendida donné à cet admirable plante nous paraît mérité par son aspect.
Le même procédé de fécondation de la Clématite laineuse avec la Clématite bleue à grandes fleurs a été beaucoup employé par divers horticulteurs, et notamment en Angleterre par MM. Jackmann et fils ; mais, si nous en jugeons d’après la planche du Florist and Pomologist, et par celle de la Belgique horticole, il ne faut pas confondre la Clématite de Jackmann, que ces deux recueils ont fait connaître, avec celle que nous avons trouvée à Metz, et que nous reproduisons d’après un échantillon moyen. Nous aurions pu prendre des fleurs beaucoup plus larges; mais nous n’avons pas voulu d’exagération. La Clématite de Jackmann est beaucoup plus bleue que celle que nous donnons. Il y a, du reste, cela de remarquable que la Clématite laineuse, croisée avec la viticella, peut fournir presque toutes les nuances, depuis le lilas clair jusqu’au brun marron le plus foncé. Une fois que l’on a trouvé une belle couleur, on reproduit par des marcottes ou par des boutures. J. A. Barral
Magazine (1865) Page(s) Vol. 16, p. 40.
Clematis hybrida splendida. Nous cultivons sous ce nom une Clématite obtenue, croyons-nous, par MM. Simon-Louis, de Metz. On dit qu'elle a été obtenue aussi à l'aide d'un Cl. lanuginosa fécondé par une variété à grande fleur du Cl. Viticella.
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